Quand on fait un effort physique, on s’épuise facilement et fini la performance. Pour améliorer votre endurance sportive, travaillez votre souffle. Suivez ces quelques conseils sur l’endurance, la fractionné et la régularité pour y parvenir.
Vous devez vous entraîner régulièrement
Pour progresser en endurance, vous devez vous entraîner régulièrement, à raison de trois séances par semaine. Vous pouvez commencer doucement avec une semaine par semaine, puis deux séances par semaine jusqu’à trois séances par semaine. La persévérance est de mise.
Travaillez en endurance et en fractionné
Pour améliorer votre souffle, vous devez vous entraîner systématiquement avec un travail d’endurance, de foncier. Pour commencer, faites un travail de 20 minutes par exemple et à faible intensité. Par la suite, augmentez la durée à raison de 45 minutes avec une allure modérée. Afin d’obtenir de bons résultats, alternez les efforts et les périodes de récupération active. Ne vous arrêtez pas nettement, marchez plutôt à bon rythme pour récupérer tout en restant actif.
Apprenez à maitriser votre respiration
Lorsque vous faites des activités sportives, insistez plus sur la phase d’expiration que l’inspiration. Inspirez vite et jusqu’au fonds, puis expirez lentement et le plus longtemps possible. De cette manière, vous expirez tout l’air de vos poumons et ces derniers peuvent en absorber plus à la prochaine inspiration. Pour y parvenir, exercez-vous d’abord avec des exercices doux comme le yoga avant de l’appliquer pendant une course à pied par exemple.
Choisissez bien vos périodes d’exercices
Évitez de vous exercer pendant la digestion et hydratez-vous bien. Ces deux règles doivent bien être respectées pour ne pas vous rendre moins performant. Entraînez-vous plutôt 2 h ou 3 h après le repas pour ne pas attraper des points de côté. Hydratez-vous bien avant, pendant et après la séance.
Entraînez-vous de temps en temps en altitude
Pour améliorer votre capacité et donc votre souffle, pensez à vous entraîner de temps en temps en altitude. Entre 1 000 et 2 000 m d’altitude, la fixation de l’oxygène dans le sang pendant l’activité physique est optimisée. Ce qui vous rend certainement plus performant.